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Les beaux jours reviennent et le 8 Mai 1996, nous commençons le démontage de la mécanique pour procéder à une évaluation de la restauration.

L’ensemble moteur boîte transmission est sorti (après avoir tronçonné le tirant gauche impossible à déboulonner à cause de la rouille), le train avant est démonté. Un ressort est tordu et plus court que l’autre, le châssis est coupée à l’avant des roues…

 

Le plancher côté chauffeur a été rafistolé avec une tôle rivetée noyée dans du polyester, la rouille a attaqué le métal et le siège a fini par passer au travers.

 

Petit à petit nous découvrons dans le polyester et autre choucroute, l’histoire cachée de la voiture, qui contrairement à ce que l’ancien propriétaire prétendait, avait certainement " tapé ".

Il semble maintenant qu’une restauration importante soit à envisager…

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Au mois de juin 96, décision est donc prise de " sortir " le châssis. Sur la douzaine de point de collage, la moitié seulement était correcte. Des " plaques à trous " sont cassées, les deux tubes transversaux avant sont corrodés sous le polyester.

 

Le châssis vient d’être sorti de la caisse, et nous pouvons mesurer l’étendue des dégâts causés à la partie avant par les 28 ans passés sous le climat breton.

 

Par chance la poutre centrale est en bon état, ni vrillée ni tordue.

 

Le châssis sera entièrement sablé et remis à neuf.

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